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Direction Cannes (ma ville d’origine) pour un petit voyage dans l’art culinaire du Liban. Situé juste derrière l’hôtel Martinez, à deux pas de la Croisette, le restaurant Al Charq est une véritable invitation à un voyage au Liban au travers de nombreuses spécialités présentées sous forme de Mezzé. Ce sont les frères Aldo et Jamal Dhaini qui sont aux commandes de ce petit royaume qui comprend un grand restaurant, une pâtisserie, un coin traiteur et une activité réception. On vient ici pour prendre un mezzé (à partir de 2 personnes) à 25 euros (8 entrées et chawarma), à 30 euros (12 entrées et chawarma) ou 45 euros (15 entrées et plateau de grillades et chawarma).
Où faut il aller à Cannes pour déguster une véritable cuisine familiale de belle qualité : Aux bons enfants. Pour cette nouvelle visite on découvre les nouveaux plats à la carte. Le menu est à 25 euros avec entrée plat et dessert, sinon pour 21 euros nous avons entrée et plat. Bien sur à la carte les entrées sont toutes à 8,50 euros et les plats à 15,50 euros. Bien sur tous les produits sont frais et proviennent du marché Forville qui se trouve juste derrière le restaurant.
Cannes est surement l’une des villes de France où l’on trouve des restaurants. Entre la rue Saint Antoine, le quai Saint Pierre et les allées, le choix est tellement important qu’il n’est pas facile de faire le tri. Si vous cherchez une adresse où l’on mange bien et bon avec des portions généreuses, avec un bon accueil et des prix abordables alors vous êtes les bienvenue Au Riche Lieu. Situé juste derrière le marché Fortville et seulement à quelques pas du port de Cannes, ce restaurant possède une belle terrasse donnant sur une petite rue piétonne.
Petite visite à Cannes, donc passage obligé par Modo Moi, ce restaurant italien qui propose une excellente cuisine italienne. l’accueil est toujours aussi sympathique par la famille Foppiani et la cuisine toujours aussi fine et bien réalisée. On trouvera toujours un menu à 22 euros et à 30 euros pour le midi et le soir, mais c’est surtout au niveau de la carte que l’on essayera de belles réalisations gastronomiques. Carte qui est complétée par une ardoise de suggestions du jours.
Voici une adresse incontournable de Cannes. Véritable institution, ce restaurant existe depuis 1953 et il est tenu pour la famille Brun depuis 3 générations. Il se trouve en plein centre de Cannes à deux pas de la mairie et du marché Forville, à l’angle de la rue Felix Faure et de la rue Louis Blanc. Chez Brun est la référence de Cannes en matière de coquillages et de crustacés. On y vient surtout pour déguster des plateaux de fruits de mer, des coquillages et différentes préparations de poissons. l’espace dans le restaurant est occupé à son maximum, donc les tables sont très proches les unes des autres. Le service est inconstant, parfois on sent les serveurs débordés par les commandes. Par contre la préparation des coquillages et des plateaux est très rapide. La qualité est quand a elle bien présente. Les prix sont quand même assez élevés, il faut compter entre 15 euros et 76 euros la douzaine pour les huitres en fonction de leur qualité et leur provenance. Par contre les plats cuisinés sont cher, par exemple 30 euros pour un saint pierre grillé ou bien 27 euros le risotto aux coquilles saint jacques.
Il existe très peu de restaurants japonais, avec des chefs japonais sur la côte d’Azur, 2 à Nice sinon il faut aller jusqu’à Monaco avec des restaurants gastronomiques japonais. Par contre de plus en plus de Kaitensuhis, les sushis tournants, ouvrent leurs portes et ils sont tenus par de Français. Mais voila, depuis le début de l’année, Cannes possède un petit bijou caché, un véritable sushi bar tenu par un chef japonaise, et même par une chef japonaise : Yoko. Ancienne chef sushis de l’hôtel Carlton, elle s’est mise à son compte dans un minuscule restaurant comptoir, à quelques mètres de la rue d’Antibes. Il faut dire que le restaurant ne compte qu’une petite salle avec 4 tables de 2, et un grand comptoir avec 4 places, derrière lequel Yoko pratique son art. Est-ce un gage de qualité de dire que l’un des chefs japonais du restaurant Kamogawa de Nice, est déjà venu plusieurs fois manger ici ? En tous cas, les produits sont excellents, et il y a un véritable travail sur la présentation. Et même si le choix en poisson est assez restreint, la qualité et la quantité sont bien présentes. On trouvera donc à la carte des sashimis, des sushis, des makis bien sur, mais aussi des temakki et d’originaux makis arc en ciel, mélangeant différents poissons en même temps. Voila une bonne petite adresse à découvrir et qui nous change de tous ces restaurants de sushis de base qui fleurissent partout dans nos villes.
C’est en 1948 qu’un petit salon de thé ouvre ses portes juste en face du casino municipal et à deux pas des grands palaces. Pendant plus de vingt ans, les grands noms de la côte d’azur s’y croiseront, de Picasso à Maurice chevalier en passant par Raimu. Mais c’est en 1982 que la fille du patron, Valérie, lance l’idée d’un restaurant juste en face de ce qui va devenir le palais des festivals de Cannes. Idéalement situé en plein centre ville, avec sa terrasse et sa salle agencée comme un jardin d’hiver, la Potinière propose une cuisine d’inspiration provençale mais ouverte aussi sur le monde. A noter aussi dans la grande salle principale la collection d’affiches originales du festival du film. Depuis 1995, c’est Larry Dupuis qui officie en cuisine, en apportant sa touche personnelle acquise chez auprès de chefs de renom, comme Alain Ducasse ou Jacques Chibois. On trouvera à la carte les raviolis au homard, le méli mélo de Saint Jacques et scampis, la morue maison rôtie ou en brandade, la bouillabaisse de légumes et herbes fraiches à la cannoise, Le loup grillé au feu de bois, mais aussi des pizzas qui sont cuites dans le grand four en pierre à l’entrée du restaurant. La carte propose aussi en fonction des arrivages de nombreux poissons de méditerranée comme le Loup ou la daurade, et aussi des plats de saisons, comme les petits farcis.
Comment parler de Vilfeu sans évoquer des souvenirs d’enfance, les soirées estivales lorsqu’après un feu d’artifice, on part déguster une bonne glace dans un cornet. Vilfeu est une institution à Cannes. Pour comparaison on peut faire un parallèle avec le fameux Berthillon de l’île Saint Louis à Paris. Depuis plus de 30 ans, Gilles Vilfeu propose des glaces artisanales de grande qualité. 85 parfums sont proposés chaque jour, et plus de 150 dans l’année. Le décor quand à lui nous fait penser au fameux café de la série « Happy days », avec ses couleurs vives et ses sièges en sky, tout ressemble aux années 60 aux USA.
Comment évoquer La pizza sans parler de Mr Francis Cresci. Il est le pionner de la pizzéria sur la côte d’Azur, et c’est en 1956 qu’il ouvre son premier restaurant de Pizza à Nice, rue Masséna. Et en 1960 il ouvre son deuxième restaurant à Cannes, sur le vieux port au pied du Suquet. Ici la pizza est servie en demi-lune et elle se compose d’aliments simples, le tout cuit bien sur dans un grand four à bois. On ne vient pas ici pour un service personnalisé, puisqu’il faut savoir que le nombre de visiteurs de ces restaurants est important, et que c’est la productivité qui est privilégiée. Il n’est pas rare de voir une queue importante tous les soirs devant l’entrée du restaurant de Cannes. Et bien sur le service s’en ressent, car il faut rapidement libérer sa place. Par contre il faut le reconnaître les pizzas sont bonnes (lorsqu’elles ne sont pas trop cuites) et entre 10 et 13 euros la portion (demie portion mais de taille).
Voici l’une des bonnes adresses de restaurants asiatiques de Cannes. Dans un cadre raffiné avec un service impeccable, on peut goûter de nombreuses spécialités chinoises, thaïlandaises, indonésiennes et cambodgiennes. La cuisine est simple mais de bonne qualité, avec un service sympathique. Il faut aussi noter la présence d’une terrasse bien agréable en été. Ce » restaurant est très fréquenté, surtout durant la période du festival de Cannes où il devient la cantine de la communauté artistique asiatique. Il n’est pas rare d’un croiser quelques grandes actrices et réalisateurs. Les prix sont très corrects, il faut compter entre 5 et 8 euros pour les entrées et entre 12 et 16 euros pour les plats.
Voila une petite adresse dans Cannes loin des paillettes de la Croisette. Ici pas de téléphone, pour réserver il faut juste passer au moment où le restaurant est ouvert. Autre particularité, ici on ne prend ni les cartes bancaires, ni les chèques, alors il ne faut pas oublier de prendre du liquide sur soit. Mais alors pourquoi venir dans ce restaurant ? Véritable institution dans le quartier, ce restaurant existe depuis 1935 et il est tenu par la même famille depuis sa création. Cela fait maintenant trois générations que la famille Giorsetti se succède derrière les fourneaux pour proposer un menu unique de produits du marché et de recettes provençales. Ici l’accueil est fort sympathique et les assiettes sont tous simplement excellentes, même si la cuisine peut paraître simple, les saveurs provençales sont bien mises en avant. Et lorsque l’on vient Aux bons enfants, on passe un excellent moment. Le restaurant se trouve rue Meynadier, ou rue grande pour les cannois, entre l’hôtel de ville et le marché Forville. La rue étant piétonne l’été il est possible de manger sur la petite terrasse du restaurant. Sinon on peut manger dans la salle du rez-de-chaussée, avec son imposant bar, ou bien la petite salle à l’étage. Ce restaurant peut être comparé aux fameux bouchons lyonnais par son ambiance, mais on retrouve dans son assiette, de nombreux plats typiques de la région à base de poivrons, d’aubergines, d’artichauts, de courgettes, mais aussi de salade de roquette, de chèvre de la région, de poissons du pays (comme la rascasse ou le thon) ou des viandes comme l’agneau du haut pays, et des plats typiques comme la brandade de morue, le Stockfish, les petits farcis ou la ratatouille.
Situé en plein coeur de Cannes, à quelques pas du vieux port et des Allées de la liberté, ce tout jeune restaurant coincé au milieu d’autres restaurants propose une cuisine italienne de grande qualité. Ce restaurant parle aux cannois car il est tenu par la famille Foppiani qui possède aussi le magasin de pâtes fraîches et de spécialités italiennes de la rue Meynadier, » les bons raviolis « . Le restaurant se compose d’une terrasse et d’une grande salle claire à la décoration originale, comme ces cadres photos numériques qui passent des images de différentes pâtes et plats italiens. Outre une carte importante, on peut prendre un menu le soir à 34 euros qui propose de nombreuses spécialités de la maison.
Après le départ en retraite des anciens propriétaires du Fuji, ce restaurant a été repris par une famille coréenne, et propose une cuisine avec des plats typiquement japonais et coréens et des produits très frais. Situé rue Notre-Dame il se trouve à proximité de la rue d’Antibes et de la Croisette. Ici on fait le tour des plats principaux de la cuisine japonaise et de la cuisine coréenne, avec des gyozas, du tofu, des sushis, des sashimis, des tempuras, des yakitoris mais aussi le fameux Jeyuk Boulgoki et le bibimpap. Le prix des entrées varient entre 7 et 10 euros, et les plats entre 15 et 25 euros. Il existe aussi des menus bentos dont les prix varient entre 14 euros le midi et 24 euros le soir.