La note de Fred:
Etoiles Michelin:
Restaurant Japonais
Adresse: 64 Rue Sainte-Anne, Paris, France
Téléphone: 01 42 96 60 40
Horaires: Tous les jours sauf dimanche
Prix: Environ 15 euros
Retour dans l’une de mes cantines japonaises préférées, Happa Tai qui nous propose deux grandes spécialités d’Osaka, les okonomiyakis et les takoyakis. Ce qui est bien dans ce genre de restaurant c’est que j’arrive à découvrir de nouvelles choses à chacun de mes passages.
En attendant l’hypothétique ouverture d’une deuxième restaurant de takoyaki à Paris (une histoire qui dure depuis 2012), Happa Tai est la petite cantine à fréquenter pour découvrir les deux spécialités d’Osaka que sont les takoyakis et les okonomiyakis. En plus il y a de petites évolutions dans la carte, ce qui permet de venir souvent dans ce restaurant. Mon conseil est de venir le midi au début du service (surtout le week end), par contre le soir l’ambiance est plus tranquille. Lors de son ouverture Happa Tai ne proposait que des tokayakis. Ensuite il y a eu les okonomiyakis. Récemment la carte évolue encore avec l’apparition des negi-yaki (dont la recette se rapproche des monjayaki) et des petits plats de style izakaya comme des fritures, des edamames, des yakisoba aux fruits de mer, du poisson grillé ou bien des croquettes, mais ces plats ne sont proposés que le soir. D’ailleurs pour ma dernière visite je suis venu chez Happa Tai un soir pour découvrir cette nouvelle carte. Contrairement au midi, le soir il n’y a pas de menu. Nous avons le choix entre les trois types d’okonomiyaki soit normal, Osaka modane et negi-yaki. Il faut compter entre 15 et 20 euros (en fonction de l’ingrédient principal) mais on peut y ajouter d’autres ingrédients en supplement à 2 euros comme un oeuf, du fromage de la ciboulette. Pour les okonomiyakis de style normal à base de choux chinois nous avons le choix entre Buta ‘porc à 15 euros), Ika (seiche à 15 euros), Ebi (crevette à 15 euros), mochi fromage (pâte de riz au fromage à 17 euros), chikiwa fromage (pâte de poisson et fromage à 17 euros) et le mix tama (porc, crevette, seiche à 18 euros). Pour les Osaka Modane yaki, okonomiyaki avec des nouilles nous avec le choix entre buta (porc à 17 euros) ou mix tame à 20 euros. Enfin nous avons les negi yaki, recette qui ressemble au monjayaki, la recette de Tokyo, où les ingrédients sont très finement coupés et la galette est plus fine. Ici on recouvre le tout d’une grande quantité de jeunes poireaux. Là nous avons le choix entre Gyu tama (boeuf à 17 euros) et tori tama (17 euros). Enfin il y a tous les petits plats de style izakaya. Là il faut compter entre 3 euros et 13 euros. Ces petits plats sont présentés sur des petites fiches sur les murs.
Pour débuter le repas pourquoi ne pas prendre un Chu-haï au pamplemousse. Ici cette boisson à base de shochu, d’eau gazeuse et de jus est présenté comme dans les izakaya au Japon. Il faut soi même préparer le jus en pressant son pamplemousse. Pour chaque repas nous avons une petite mise en bouche, une petite salade de concombre au sésame. Ensuite on peut prendre quelques édamamés (3 euros) ou bien des tempura de chikiwa, ce sont des tubes creux de pâte de poisson (6 euros). Il y a aussi les croquettes de crevettes (5 euros), les coquilles Saint-Jacques au soja (6 euros) ou les yakisoba aux fruits de mer (13 euros).
Bien sur on peut aussi prendre quelques takoyakis en sachant qu’il y a plusieurs recettes avec sauce normale, sauce ponzu, ciboulette et fromage. Et il y a aussi les takoyakis au curry (mon coup de coeur), 6 takoyakis qui sont recouverts d’une excellente sauce au curry. Pour compléter on prend aussi quelques okonomiyakis à la mode d’Osaka aux crevettes et au porc et un negi-yaki au boeuf recouvert d’une montagne de ciboulette.
En dessert on a le choix entre le chocolat blanc au matcha, la boule de glace au matcha recouverte de calpis et haricots rouges et la panna-cotta au sésame blanc.
Rentrant du Japon et n’ayant pas eu le temps de manger des takoyakis, j’avais un petit manque. Heureusement à Paris on trouve un endroit où nous pouvons déguster cette spécialité de la ville d’Osaka. Il faut se rendre au bout de la rue Sainte Anne chez Happa Tai, un micro restaurant tout rouge et bien sympa.
Osaka est surement la ville du Japon où le plus de spécialités culinaires nippones ont vu le jour comme l’okonomiyaki, le kushikatsu et les takoyaki. Happa Tai est un petit restaurant parisien, et le seul pour l’instant où l’on peut déguster deux de ces spécialités, les tokayaki et l’okonomiyaki. Cela faisait longtemps que je n’étais pas allé chez Happa Tai et j’aime toujours. C’est simple, typiquement japonais, très sympathique et d’un bon rapport qualité prix. C’est vrai que j’ai tendance à aller dans ce genre de petit restaurant dés l’ouverture et là le service était très rapide. J’ai aussi entendu dire que bientôt un autre restaurant de takoyaki devait ouvrir ses portes à Paris, mais pour l’instant rien (l’ouverture était prévu en novembre). Alors je dis longue vie à Happa Tai. Dés que l’on passe la porte on est tout de suite dans l’ambiance d’un petit restaurant de takoyaki d’Osaka. On longe la cuisine où les chefs préparent yakisoba, okonomiyaki et takoyaki et on monte par un escalier étroit à l’étage. Nous avons le choix entre deux salles aux murs rouges, l’une avec des petites tables basses et l’autre avec des tables normales. Il y a plein de petits détails sympathiques comme les affiches, les petits coussins avec de jolis poissons rouges et les paniers sous les chaises pour y mettre ses vêtements ou sacs.
Les menus sont simple et d’un bon rapport qualité prix puisque l’on peut choisir entre trois menus à 12 ou 13 euros. Ensuite nous pouvons aussi prendre des takoyaki par 6 avec trois types de sauces différentes pour 8 à 9 euros. Le choix des boissons est limité puisque nous pouvons prendre soit une bière, soit du thé vert soit du calpis. Pour les trois menus nous avons le choix entre un menu takoyaki+yakisoba, un menu okonomiyaki+onigiri et un menu okonomiyaki+takoyaki. Chaque menu est accompagné d’une micro salade avec une sauce au sésame. Ensuite voici les onigiri et la soupe miso (avec des carottes) du menu okonomiyaki.
Ensuite voici une sélection de takoyakis. Par 4 ils sont dans le menu okonomiya-takoyaki. On peut choisir la sauce, la normale sucrée ou bien une sauce au ponzu. Par 6 ce sont les takoyakis à la carte. Là aussi nous choisissons la sauce, normale, mayonnaise, pounzu, pounzu et ciboulette et en plus pour 1 euro nous rajoutons une tranche de fromage.
Ensuite voici les okonomiyakis, la petite assiette étant le menu okonomiyaki+takoyaki et la grosse assiette le menu okonomiyaki. Celles ci sont plutôt légères avec pas mal de chou et nous choisissons soit du calamar, soit des crevettes soit du porc. Ces okonomiyakis sont vraiment très bonnes, pas trop épaisses comme au Japon. Par contre elles sont recouvertes de sauce sucrée et de pétales de bonite mais pas de mayonnaise. Enfin pour les amateurs il y a aussi les yakisobas.
Happa Tai est un endroit bien sympathique mais à quand un restaurant comme Takonotetsu où nous devons faire nous même les takoyakis.
La rue Sainte Anne et ses restaurants japonais. Parfois on y trouve de belles surprises. Pour cela il faut se rendre tout au bout de la rue pour découvrir la petite façade rouge de Happa taï typiquement japonaise. Que vient on manger ici ? La grande spécialité d’Osaka, les fameux takoyaki. d’ailleurs ce restaurant est l’unique de Paris spécialisé dans cette recette. Mais que sont les takoyaki ? Des boulles de pâtes (comme celle pour les crêpes) avec au centre un petit morceau de poulpe. Et comme à Osaka on peut admirer la dextérité du cuisinier qui prépare ces petites boulettes.
Ici les menus sont autours de 12 euros, avec petites entrées, des takoyaki, une salade de porc et une soupe. Il y a aussi quelques petits desserts à 5 euros et quelques boissons typiquement japonaise comme du Calpis.
On rentre alors dans le restaurant, on passe commande et ensuite on s’installe dans la salle du haut. Une partie est à la japonaise avec petits bancs et petites tables, l’autre à l’européenne. Le décors en bois clair et aussi très rouge. Il faut aussi voir les petits détails, comme les affiches ventant les takoyakis, les coussins en tissus bleus japonais et les petits poissons rouges sur les miroirs ronds. Un endroit simple qui sent bon la Japon.
Voici un menu agrémenté d’un autre plat de la carte. d’abord les takoyakis recouverts de la sauce sucré et de pétales de bonite séchée, puis le grand plat avec la salade de choux recouvert de fines tranches de porc et les trois boulettes de riz grillées. Pour compléter le tout une fine omelette japonaise au poulpe. Enfin pour accompagner le menu, des chips de lotus (excellent !!!!) et une petite soupe miso.
En dessert on peut prendre un mochis au thé vert dans une petite sauce accompagné de haricots azukis ou bien des petits carré de chocolat blanc au matcha.