une adresse un peu secrète de la ville d’Osaka. Disons le de suite il faut vraiment connaitre pour venir chez Oboroan Situé dans un quartier tranquille et résidentiel au nord de la gare d’Umeda (plus de 30 min à pied de la gare JR umeda), il n’est pas facile de trouver ce restaurant. Pour repérer l’entrée du restaurant, il faut trouver un long passage en bois sombre bordé de lampe en papier. Tout au fond de se passage se trouve le restaurant, au décor traditionnel avec ses pièces en tatami, ses murs en papier et ses petits jardins zen. On vient ici pour une spécialité, le Shabu Shabu. A la carte, des » Courses « , c’est-à-dire des menus complet avec plusieurs petits plats et un grand Shabu Shabu. Les prix varient entre 4500 yens et 10500 yens, en fonction du nombre de plats, du type de viande et de la qualité de la viande. Mais si on vient ici autant prendre le grand menu à 10500 yens avec 7 plats réalisés avec de la viande de qualité supérieure et notamment du boeuf de Kobe.
Pour débuter voici une petite mise en bouche à base de viande de poulet cru mariné dans une sauce au yuzu, puis le zenzaï d’entrée, un tofu maison au wasabi, un roulé de viande de boeuf, des petites épis de maïs sautés et une prune marinée. Ensuite un tartare de boeuf de Kobe, puis un plat de sashimis de viande, avec du boeuf de Kobe tataki (cru à l’intérieur et cuit à l’extérieur) et une préparation de foie cru.
Ensuite voici venir un potage aux légumes de saison. Avant d’attaquer le plat principal, le fameux Shabu Shabu. Celui-ci se compose d’un grand plat de légumes (Shiitake, Enoki, choux chinois, tofu, verdure, pâte de poisson et carotte) et un grand plat de viande avec du canard, du porc supérieur et du boeuf de Kobe. Pour la viande on a le choix entre 3 sauces, soja, yuzu et une sauce blanche spéciale de la maison.
Une fois le Shabu Shabu terminé, dans le reste de bouillon, une bonne quantité de Sobas sont cuites. Enfin pour finir voici venir des sushis de viande de Kobe cuite (un véritable régal) et enfin une boule de glace vanille enrobée d’une feuille de Shiso.
Un mot pour finir : Oishiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii